MASCULIN et/ou FEMININ : peut-on choisir ?
MASCULIN et/ou FEMININ : peut-on choisir ?
Auteurs : Alain LEDAIN, Erice LEMAITRE
Editions : GBU – FAREL
« Un principe intangible existe et gouverne la création : la différence des sexes, la différence entre la masculinité et la féminité. Les rôles et les fonctions joués par l’homme et la femme devaient l’être en complémentarité et en solidarité, l’homme et la femme ayant été créés l’un à côté de l’autre, en vis-à-vis.
Or tentative est faite, sur un plan sociétal, d’introduire une vision niant la réalité des différences. »
Peut-on vraiment choisir entre le masculin et le féminin ? Que sont les théories du genre et dans quels contextes se sont-elles développées ? Doit-on les craindre, et peut-on prévoir quelles seront leurs conséquences sur notre société ?
En exposant les différentes théories du genre et en les confrontant à ce que la Bible enseigne, Eric Lemaître et Alain Ledain reviennent sur la vision de l’homme et de la femme et de la famille dans la conception judéo-chrétienne.
Une réflexion riche sur le féminin et le masculin, sur le mariage et la famille, qui fait l’éloge de la différence et de la complémentarité.
Plan et résumé du livre
Après avoir succinctement exposé ce que sont « les idéologies issues des études sur le genre », les auteurs mettent en évidence le glissement qui s’est opéré des études vers les théories et enfin vers les idéologies autour du genre (chapitre 1).
Dans un deuxième temps, ils décrivent les contextes de ces idéologies : à la fois celui de la démocratie avec sa passion légitime pour l’égalité (chapitre 2), et celui de la modernité tardive caractérisée par la honte de l’homme occidental concernant son Histoire – une Histoire amenant l’homme à vouloir devenir son propre créateur (chapitre 3).
Ensuite, sont décrites les conséquences que « les idéologies issues des études sur le genre » auront sur les modes de vie (chapitre 4).
Le développement se poursuit en proposant d’une part une perspective biblique et quelques pistes de réflexions face à une période de déconstruction (chapitre 5), d’autre part quelques pensées sur le mariage (chapitre 6).
Enfin, face à la rupture avec les valeurs amenées par le christianisme, rupture qui est surtout celui d’une élite intellectuelle, les chrétiens éprouvent du désarroi et, plus que jamais, se sentent à contre-courant, engagés dans un combat qui les dépasse. Il était nécessaire de clarifier la nature de ce combat : c’est précisément l’objet des chapitres conclusifs de l’ouvrage (chapitres 7 et 8).